top of page

Pourquoi s'entraîner chez un psy plutôt que chez soi?

Nous reproduisons ci-dessous un texte extrait du site de la FFPP (Fédération Française de Psychothérapie et Psychanalyse).

 

Psychothérapie

« La psychothérapie a pour objet de traiter le mal-être que chacun peut rencontrer un jour dans sa vie. Selon les personnes et les circonstances, ce mal-être se manifeste dans le domaine psychologique, existentiel, affectif, sexuel, relationnel ou social.

Le travail du psychothérapeute consiste à proposer à la personne, en fonction de sa situation spécifique et de son désir de changement, des moyens qui vont lui permettre d’évoluer vers un état souhaité de mieux-être.

Si le bon déroulement de la psychothérapie dépend en grande partie, de la dynamique relationnelle qui se crée entre la personne qui consulte et le psychothérapeute, il repose également sur l’utilisation d’une ou plusieurs méthodes de psychothérapie reconnues.

On estime actuellement à près de 400 le nombre des méthodes de psychothérapie existant en Europe et aux Etats-Unis. Cette diversité, qui témoigne de l’inventivité créatrice et du dynamisme de la psychothérapie, reflète également un éclectisme qui place l'usager devant une question complexe : quelle méthode de psychothérapie choisir ?

Pour apporter des éléments de réponse à cette question, la FFPP propose, dans cette nouvelle édition de son annuaire, une classification simple des principales méthodes de psychothérapie en fonction de cinq grands courants de la psychothérapie actuelle :

  • humaniste - existentiel

  • analytique

  • cognitivo - comportemental

  • systémique

  • multiréférentiel.

A part les thérapies brèves, les résultats sont en général obtenus et consolidés après un nombre élevé de séances. Cela s’explique par le niveau d’entrée dans le cerveau des actions effectuées. La psychothérapie agit au niveau conscient qui fait partie des fonctions supérieures de notre cerveau. Les mécanismes de régulation sont constitués de boucles fonctionnant en parallèle et imbriquées à différents niveaux. Lorsqu’une boucle est modifiée par une action extérieure, les autres boucles doivent se modifier pour s’adapter à un environnement différent et cela peut nécessiter de nombreuses séances.

 
Neurofeedback

La méthode de neurofeedback dynamique agit, elle, directement au niveau le plus bas de ces boucles de régulation, c’est-à-dire à un niveau totalement non conscient. Elle permet au cerveau d’apprendre à mieux se réguler, c’est-à-dire à corriger lui-même et rapidement les dysfonctionnements de ses mécanismes de base et ceci, quel que soit le type de dysfonctionnement.

Mais un cerveau possédant des mécanismes de régulation en bon état de fonctionnement n’est pas à l’abri d’une imagination néfaste dans son fonctionnement conscient, comme par exemple la croyance « je suis nul ». Cette croyance, si elle est bien ancrée, peut freiner voire bloquer l’efficacité d’une séance de NeurOptimal, compte tenu du pouvoir du cerveau conscient sur les mécanismes de base mentionnés plus haut.

 

COMPLEMENTARITE entre Psychothérapie et Neurofeedback dynamique
 

L’efficacité d’une séance de psychothérapie peut être ralentie car le point d’entrée pour la modification des connexions neuronales est situé à un niveau trop élevé des fonctions supérieures. Compléter ces séances par des séances de NeurOptimal permet de retrouver une efficacité plus rapidement.

De la même manière, l’efficacité d’une séance de NeurOptimal peut être ralentie par des croyances bloquantes. Le travail du psychothérapeute permet d’aider la personne à les modifier et d’éviter ainsi le blocage. »

*Sources : http://www.afpn.eu/objectifs.html#neuro

bottom of page